2013-12-31
second poste sur mon blog 00:38:48
2013-12-31 10:47:03
A 12 ans il crée "Tech is social", le Facebook grec. Google
s'est récemment entiché d'un jeune grecque qui, du haut de ses 12 ans, a
développe un réseau social dont le concept est proche de Facebook.
Cette plateforme "Tech is social" promet une meilleure qualité d'image
et de son ainsi qu'un bouton "j'aime pas". L'histoire aurait pu
être banale. La Grèce va bientôt accueillir un nouveau réseau social
nommé "Tech is social", une plateforme d'échange très proche de Facebook
qui propose en plus de l'outil "like" (j'aime) un bouton "dislike"
(j'aime pas) et une meilleure qualité d'image et son. Rien de très
original a priori. Seulement voilà, le créateur du site est un
adolescent âgé de 12 ans qui est devenu tout récemment la nouvelle
coqueluche de Google,comme le rapporte le Figaro. L'histoire a commencé
ainsi: lors de la foire internationale des industriels à Thessalonique
dans le nord de la Grèce, Nikos Adam interpelle des programmeurs de
Google réunis sur leur stand, communiquant avec eux dans un anglais
parfait et leur parlant de nouvelles technologies. Il en profite aussi
pour évoquer son nouveau concept, "Tech is social". Immédiatement, les
salariés de la société de Moutain View sont séduits par la fougue et les
ambitions du jeune homme. Encore au collège, Nikos Adam est
autodidacte. Dés l'âge de 9 ans, ils commence à bidouiller son
ordinateur puis développe MSP (Minecraft Server ¬Platform) pour
faciliter les internautes à jouer à Minecraft, un jeu indépendant de
construction. "Pour jouer en ligne, il faut fabriquer un serveur, ce qui
demande de la constance et du temps. Avec MSP, on le réalise en une
seconde en appuyant simplement sur un bouton" décrit-il ainsi son
concept. Parallèlement, il fabrique un programme visant à mettre de coté
des hackers : le logiciel DTD afin de "cibler, mettre en quarantaine
puis exclure les utilisateurs ayant de mauvaises intentions".
WikiLeaks appelle les hackers à infiltrer les services secrets. Le
fondateur du site internet WikiLeaks, Julian Assange, le
blogueur/hacker/activiste Jacob Appelbaum et la journaliste Sarah
Harrison, qui a aidé l'ex-consultant du renseignement américain Edward
Snowden à quitter Hong Kong pour Moscou en juin dernier, ont appelé la
communauté des hackers, lors du congrès de l'association allemande
de "hackers" Chaos Computer Club à Hambourg, à infiltrer les services
secrets afin de pouvoir rendre publiques des informations secrètes, à
l'instar des révélations sur les programmes de surveillance américains
faites par Edward Snowden, inculpé aux Etats-Unis pour espionnage.
Julian Assange, qui s'est adressé aux 3.500 personnes présentes au
congrès via une connexion par Skype depuis l'ambassade d'Équateur à
Londres, a souligné l'énorme pouvoir aux mains des administrateurs de
systèmes car ces derniers gèrent les réseaux et connaissent les
structures des systèmes informatiques. Julian Assange a également estimé
que la divulgation d'informations et la transparence étaient les seules
manières de changer positivement les systèmes en place. Seneweb